Nos lecteurs se souviennent sans doute de ce billet estival qui faisait mention de l'analyse du pays perdu de la Pagnolie, cet espace encore vierge d'urbanisme moderne qui s'étendait entre la Barasse et les Bellons (les Marseillais qui me lisent apprécieront la distance), évoqué dans "la gloire de mon père" et sujet central du "château de ma mère".
Bruno Lizé nous a donné un petit bonjour en bas de ce billet, bonjour que je reproduis ici:
"Je ne découvre votre commentaire que ce jour. Merci donc d'avoir cité mon livre...
J'y suis d'autant plus sensible qu'après avoir exploré avec passion le "Pays Perdu" de Foncine il y a plus de 25 ans, j'ai eu la surprise de découvrir chez Marcel Pagnol le même procédé littéraire : relier imaginairement par un cours d'eau (rivière "Ognon" chez l'un, canal de Marseille chez l'autre) quatre châteaux biens réels.
Et j'ai été dès lors entrainé dans un vrai "jeu de piste" sur les traces des héros de Pagnol, en suivant les signes qu'il a laissés (délibérement ?) dans son récit.
Bruno Lizé "Histoires de Pagnolie" www.histoiresdepagnolie.com"
A quand un livre sur le Pays Perdu de Foncine? Il y a un marché "captif" de scouts et de lecteurs, anciens et récents, qui n'est sans doute pas mince.
Bonjour,
Pour être informé de l'actualité du Château de la Buzine (le Château de ma mère) et des réactions de Bruno Lizé au sujet des modifications du Parc attenant au château je vous invite sur mon blog:
http://lechateaudelabuzine.blogspot.com/
Bernard Mariotti, qui vient de terminer la lecture de "BARBEGAL" de R.Vrigny. Si ce livre a été analysé merci de m'envoyer le lien correspondant ou les références à mon adresse:
[email protected]
Cordialement.
Rédigé par : Bernard Mariotti | 18 novembre 2010 à 22:35
Bernard Mariotti : merci pour le lien. Pas d'analyse connue de "Barbegal" en revanche, qui est un peu hors sujet pour notre blog : cet excellent roman bien peu connu est comme un cousin du Signe de Piste que l'on aurait croisé avec quelque chose de provençal et d'onirique à la Henri Bosco... qui lui même écrivait talentueusement et de façon lisible par la jeunesse. On n'en sort pas!
Dans un de ses volumes récents de chroniques, Gabriel Matzneff prononce l'éloge de Roger Vrigny. C'est comme cela que j'ai connu "Barbegal" ; si ce n'est pas votre cas, vous pouvez toujours chercher le volume et la chronique (je n'en ai plus pour ma part le moindre souvenir).
Rédigé par : Le Remplaçant | 19 novembre 2010 à 21:14